Comment explique-t-on encore le succès de la théologie de prospérité ?
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Née aux États-Unis dans les années 1970, la théologie de la prospérité continue de séduire toujours plus d’adeptes à travers le monde. Brandie comme fer de lance par des personnalités charismatiques, il faut pourtant la voir pour ce qu’elle est : un danger.
Prédation financière, dérives sectaires, abus spirituel, telles sont les inquiétudes que soulève la théologie de la prospérité chez les autorités publiques à travers le monde. Dans un contexte global de crise économique, cette théologie continue toutefois de trouver un nouveau souffle, car elle repose sur l’idée que la foi et la générosité du croyant sont récompensées par la santé, le succès et la richesse.
De son côté, le Conseil National des Évangéliques de France a choisi de se positionner en rupture avec la théologie de la prospérité : « Cette théologie s’est développée autour de personnalités issues du pentecôtisme, mais ne représente pas la doctrine pentecôtiste » écrit le Comité Théologique du CNEF sur le sujet.
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